Bienvenue en P2
Pas d’inquiétude, on ne te laissera pas partir à la dérive !
Félicitation pour ta réussite au concours, la P2 t’ouvre enfin ses portes. Avec son lot d’activités pour décompresser un maximum après ces années de dur labeur. Tu as choisi la filière médicale, comme tu le sais sans doute déjà, une longue traversée t’attend, mais une traversée palpitante et passionnante ! Et il ne faudrait pas que tu t’égares durant cette année « où c’est un peu plus cool », mais avec quand même bien plus de cours qu’en PACES.
C’est parti !
Comment cela va fonctionner ?
Voyons déjà ce que ça peut t’apporter, aussi bien en tant que tutoré (P2) que tuteur (D1) :
Pourquoi les D1 en tant que tuteur ?
Et bien, en D1, tu aborderas les dernières notions de sémiologie, et donc, tu commenceras à avoir une vue d’ensemble des choses, de plus, tu feras de vrais stages (3 × 3 semaines dans les services du CHU) qui te permettront de percevoir la réalité de ce qu’est un interrogatoire et un examen clinique avec un patient.
Pour vous les P2
C’est une vraie opportunité pour vous de pratiquer dès maintenant vos cours, de manière interactive dans l’ambiance du tutorat, avec des cas cliniques réalistes vérifiés par les profs.
Les objectifs
Pour les P2
Pour les D1
Quand et comment ?
L’organisation
Le tutorat de sémiologie assurera plusieurs séances au second semestre (4 l’année dernière), cela en plus des séances de sémiologie dispensées par les professeurs.
Chaque séance abordera un ensemble d’appareils (cardio, pneumo, rhumato, neuro, loco, etc.), d’un point de vue clinique, mais aussi, sur le plan de l’interrogatoire.
Les séances se dérouleront en petit groupe, un binôme de D1 avec jusqu’à 6 P2.
Ce tutorat fonctionne en étroite collaboration avec l’équipe pédagogique de la faculté. Tous les cas cliniques sont relus, corrigés et approuvés par des professeurs de la faculté.
L’interrogatoire
Les séances dédiées à l’interrogatoire ont pour but d’aider les étudiants à structurer leur interrogatoire, adopter un langage adapté aux patients, mais aussi, à aller chercher les bonnes informations que le patient ne donnera pas si on ne pose pas les bonnes questions.
Chaque groupe est composé de 2 D1 et 3 à 6 P2, lors des séances d’interrogatoires :
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